Améliorez votre « Leadership » : 5 points

Nous sommes tous d’accord que le terme « leadership » est supra-utilisé, des milliers de livres et d’articles ont été écrites sur ce sujet. Dans le media, les présidents des pays et des entreprises sont des leaders, les équipes de football ont souvent un leader. Vue que dans le management de projet il ne suffit pas de courir vite et frapper fort pour être bon, voici ce que MATEO vous propose en 2010 pour améliorer vos compétences de leader : 1. Réflexion stratégique : regardez les faits et les événements en perspective ; cherchez à voir « the big picture », prenez du recul et demandez vous régulièrement « pour quoi ? » (au lieu de « quoi ? », « comment ? »)

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Le mot de l'année

Publié par Andrei TAVIRLAU On 21:02 0 commentaires
Je pense que le mot qu’on a entendu sans arrêt tout au long de l’année est le mot « crise », avec ses variations « crise financière », « crise de subprimes », « financial crisis », « finanzkrise ».

Du point de vue sémantique, la crise signifie un brusque accès, forte manifestation d'un sentiment, d'un état d'esprit, la rupture d'équilibre. L'accent est mis sur l'idée de manifestation brusque et intense de certains phénomènes, la crise étant la manifestation violente d'un état morbide, survenant en pleine santé apparente (du système financier).

Personnellement, je pense que nous ne sommes pas en face d’une crise. Au contraire, la maladie du système financier est chronique et bien caché par la complexité du système et les modèles mathématiques qu’utilisent les financiers, qui fait que plus personne n’y comprend rien.
La sonnette d’alarme a été tirée à plusieurs reprises, il semblerait qu’il y avait eu depuis le début des années 70, 168 crises bancaires qui ont touché une centaine de pays. L’éclatement de la bulle Internet en 2000 est juste la preuve du fait que la bulle d’immobilier ne devra pas nous étonner.

Je doit parler a ma chaise

Publié par Andrei TAVIRLAU On 18:14 0 commentaires
Comment parler aux autres? Comment peut on dire aux autres nos envies, nos intentions? Comment peut-on communiquer nos messages sans avoir des malentendus? Comment décoder et résoudre les malentendus ?

Au quotidien je me prendre la tête avec ces questions, dans la vie professionnelle ainsi que dans la vie privé. Il y a des milliers de livres qui traitent ce sujet, mais en fin de compte, il n’y a pas une recette qui marche sans erreur.

Benjamin parlait des cultures et des différences ; on sait bien que les français boivent du vin et les russes de la vodka ; on sait que les allemands rigolent pas ; mais qu’est ce qu’on fait quand on doit traiter avec une chaise ?

A quoi vous pensez quand vous regardez ce film ? Comment auriez-vous abordé la chaise?

Geert Hofstede est un psychologue néerlandais né en 1928. Il a été inspiré par le culturalisme. Son approche de la culture est basée sur la définition donnée par l'anthropologue américain Kluckhohn « la culture est la manière de penser, de sentir et de réagir d'un groupe humain, surtout acquise et transmise par des symboles, et qui représente son identité spécifique: elle inclut les objets concrets produits par le groupe. Le cœur de la culture est constitué d'idées traditionnelles et des valeurs qui lui sont attachées ».



Différenciation culturelle
Il définit six facteurs de différenciationculturelle :
Le polychronisme et le monochronisme,
La distance hiérarchique,
Le contrôle de l'incertitude,
L'individualisme et le collectivisme,
La dimension masculine/féminine,
L'orientation court terme/moyen terme.
Cette étude est basée sur une analyse menée auprès des employés IBM dans 50 pays.

Le polychronisme et le monochronisme
Désigne la relation des différentes cultures avec le facteur temps. C'est une dimension culturelle enoncée par E.T. Hall. Les cultures qui ont une attitude polychronique (Europe latine, Amerique latine, Maghreb ou Afrique Noire) peuvent notamment faire plusieurs choses à la fois, leur temps est flexible et les relations entre les individus sont intenses et durables. Les pays comme l'Allemagne, la Suisse ou l'Amérique du nord ont une attitude monochronique.
Dans une attitude monochronique, la conception du temps est la même dans tous les aspects de la vie quotidienne : rendez-vous privé ou professionnel, horaires des transports, horaires de réunions ou conférences, notions de durées.
Dans une attitude polychronique, la conception du temps est variable selon l'élément de la vie quotidienne considéré. Ainsi, dans la culture française, il est admis qu'un rendez-vous privé est honoré dès lors que l'invité arrive dans les 15 minutes suivant l'heure dite (conception souple de l'horaire) alors que l'horaire d'un train est précis à la minute près (conception stricte de l'horaire). Cette élesticité dans le rapport au temps est typique de cultures polychroniques.
Exemple : Pour un rendez-vous, il faut se présenter 5 minutes en avance en Allemagne, il est possible d'arriver dans les 15 minutes après l'heure du RDV à Lyon ("le quart d'heure lyonnais"), dans la demi-heure à Marseille ou en Italie et dans la demi-journée ou journée au Maroc ou au Togo.

La distance hiérarchique
Désigne l'acceptation de l'inégalité de pouvoir par celui qui y est soumis.

Le contrôle de l'incertitude
Désigne le degré de tolérance qu'une culture peut accepter face à l'inquiétude provoquée par les événements futurs.

L'individualisme et le collectivisme
Exprime le degré de liberté d'un individu par rapport à un groupe.
Autrement,Exprime le degré d'autonomie par rapport au groupe et aux normes sociales, la plus ou moins grande solidarité du groupe et le degré d'attachement aux valeurs communautaires

La dimension masculine/féminine
Il s'agit de savoir si une société est, d'une part, plutôt plus sensible à des facteurs émotionnels (féminin) ou factuels (masculin) et, d'autre part, organisée avec une séparation marquée ou non des rôles des deux sexes dans les tâches de la vie quotidienne.

L'orientation court terme/moyen terme
L’auteur lui-même associe le long terme aux valeurs de la vertu, et la vision à court terme à la vérité. Les valeurs associées au court terme sont le respect des traditions, satisfaire des obligations sociales. Les valeurs associées à une vision à long terme (dite "vérité") sont économie et perseverance.

Extrait de: http://fr.wikipedia.org/wiki/Geert_Hofstede

Voir egalement:
http://www.geert-hofstede.com/
http://www.itim.org/fr/
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