Ce type de réflexion est facile et très intuitive : plus t’agrandi ton équipe, plus des chances tu as de finir en temps.
Mais est-ce qu’il suffit d’augmenter les ressources pour tenir le planning ?
Malheureusement, ce n’est pas si évident que ça.
Il y a plusieurs variables dont il faut tenir compte et qui peuvent induire en échec la gestion du projet: en premier lieu une mauvaise allocation des ressources et le manque d'engagement de l'équipe dans la réalisation du projet peuvent être la cause de l'échec de la gestion du projet. De même une mauvaise définition des taches et des activités peut faire échouer la planification technique et financière du projet. D'autre part une fondation inadéquate du projet puis le mauvais choix des personnes pour diriger le projet.
Pas mal de possibles problèmes, n’est pas ?
Si sur structure, la fondation du projet et sur les personnes qui dirige le projet c’est très difficile à intervenir, au niveau des ressources c’est impératif d’accorder correctement les vrais besoins avec les moyens déployés.
Comment faire ?
C’est facile ; on prend deux courbes, le temps passé pour être productif et le besoin de communiquer. Leur point d’intersection est notre cible, la situation parfaite où notre équipe n’est pas en surcharge et nous ne sommes pas non plus complètement « lost in translation », due a une forte besoin de communiquer d’un façon institutionnalisé.
Bien sur, la simplicité on la trouve seulement en théorie. Personnellement, je me suis retrouvé souvent dans la situation où on fonction en surcharge et plus on avance avec le projet, plus la panique s’installe et le gaspillage des ressources est imminent – la marge est plus faible que prévue, même si en moyenne, on a eue assez de ressources.
Les chinois disent que si tu mets la tête dans un four à pain et les pieds dans un récipient avec de l’eau glacée, en moyenne, tu dois être content, la température est parfaite.