Améliorez votre « Leadership » : 5 points

Nous sommes tous d’accord que le terme « leadership » est supra-utilisé, des milliers de livres et d’articles ont été écrites sur ce sujet. Dans le media, les présidents des pays et des entreprises sont des leaders, les équipes de football ont souvent un leader. Vue que dans le management de projet il ne suffit pas de courir vite et frapper fort pour être bon, voici ce que MATEO vous propose en 2010 pour améliorer vos compétences de leader : 1. Réflexion stratégique : regardez les faits et les événements en perspective ; cherchez à voir « the big picture », prenez du recul et demandez vous régulièrement « pour quoi ? » (au lieu de « quoi ? », « comment ? »)

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Rien n’est plus insondable que le système de motivations derrière nos actions. Georg Christoph Lichtenberg – Le miroir de l’Ame.
Même si j’ai l’air d’être négativiste, au lieu de penser aux conditions de réussite d’un projet j’ai fait une liste des plus mauvaises pratiques – qui sont devenu déjà classiques dans le domaine du management du projet. Ces erreurs sont très douces et il est très facile de tomber dans leur piège.
Doit-on sauver un projet qui a pris du retard ? Augmente le nombre d’hommes. Est-ce qu’on garde une personne qui empêche toute l’équipe de travailler ? Oui, le projet est trop important pour le virer.

Voici mes nominations pour le top:

1. La mauvaise utilisation du temps pendant le start-up du projet. Entre le moment ou un contrat est signé et le moment où le projet commence (exécution) il y a une période flue, souvent mal utilisé par les managers des projets. Apres cette période, les responsable lancent le projet en force, avec des plannings complètement non - tenables.
2. Une Motivation non déterminé. Quinze millions études ont montré déjà que la motivation est l’élément avec le plus grand impact sur la productivité et la qualité du travail. A priori, on dirait que les managers sont sensibilisés à ce problème et qu’ils la prennent en compte. Ce n’est pas le cas. La plus part des politiques managériales sont eurocentime – connes, qui obtiennent de pertes gigantesques en motivation et morale pour des ridicules gagnes sur le budget.
3. Bruit, manque d’intimité et d’espace. Tu veux réduire les coûts ? C’est facile de faire rentrer 30 personnes dans un bureau low-budget open space. Essayez de vous concentrer quand, dans la même temps 30 personnes parlent au téléphone, discutent, bougent dans toutes les sens etc.
4. On abandonne le planning, sous pression. Les managers font des plannings et après ils les abandonnent (sans les modifier), quand ils ont des problèmes avec le timing. Et voici comment sans un plan cohérent, le projet devient free-style, un sort d’improvisation non productive.
5. On court circuit les activités en amont. Pour tenir un planning non réaliste les managers essayent de couper les activités non critiques. Vu que la phase de design et conception ne fait pas avancer ton chantier, par exemple, ce sont des victimes faciles. Quand le planning est serré, on ne se pose pas des questions et on attaque directement le chantier. La seul problème est que même si au début on gagne deux semaines, a la fin, on perte beaucoup plus, en modifiant et en corrigeant toutes les défauts de projet. Si tu ne trouves pas le temps de faire les choses correctement dès le début, comment est-ce que tu vas trouver le temps de le faire plus tard ?
6. On court circuit la qualité pour augmenter la vitesse d’avancement. Sur les projets qui on pris du retard, nous sommes tentés de couper les étapes des tests pre-fonctionement et vérifications finales. Big mistake, car une journée des tests coupés produira entre 3 et 10 jours d’activités supplémentaires.
7. Le syndrome « SILVER BULLET ». Ce syndrome entre en scène quand les managers ont besoin d’un sauveur, une méthode, un outil, quelque chose pour éviter la catastrophe, donc ils jouent tout sur une carte. Malheureusement cette balle en argent ne fonctionne pas et en plus cette approche a un effet de sérialisation des actions, que autrement se déroulent en parallèle. Pas claaass.

C’est impossible de ne pas faire des erreurs, mais c’est toujours mieux de les éviter. Personnellement, après chaque projet je fait une analyse « post mortem » afin ne les pas répéter. Mais pour être sincère, c’est plus facile d’observer les erreurs des autres.

1 Response to "Les erreurs classiques dans le management de projet – Top 7"

  1. B. S. Said,

    Je suis assez d'accord avec tes remarques, mais pour ma part j'insisterai sur un facteur sous estimé : les contraintes matérielles de notre environnement.

    Trop souvent les projets sous estiment leur environnement ses contrainte et ses atouts, qui rendent un projet facile ou ingérable.
    Au niveau des ressources Humaines, la simple disposition des locaux, suffit à faire qu'une émulation se crée ou pas. Un Manager européen doit etre aussi le paysagiste de son projet : accepter les contraintes et s'en servir pour en faire levier et surmonter la difficulté. Mais on ne surmonte une difficulté que lorsqu'elle a été identifiée.

    Le problème c'est que ce genre de problème n'est évalué qu'a postériori, lorqu'il s'agit d'estimer le coût. Il est très difficile d'avoir la vision pour anticiper les économies que l'on peut faire.
    L'experience parait de loin la meilleur solution.


    Sinon il ne faut pas oublier que sous estimer peut être une stratégie pour faire approuver un projet qui n'aurait pas été validé sinon. Une fois lancé, cela couterai plus cher de tout abandonner. C'est ce qu'ils ont fait pour le Stade de France.