Pour la quatrième année d'affilée, BearingPoint, cabinet de « business consulting », invite les étudiants de grandes écoles de commerce et d'ingénieurs à porter leur candidature à son concours « be.project ». Avec à la clef la somme de 15.000 euros pour soutenir leur projet « d'intérêt général et porteur de sens ».
Les inscriptions sont ouvertes du 8 janvier au 12 mars 2010 via le site http://www.be-project.fr. Après une présélection le 15 mars, les candidats encore en lice auront jusqu'au 12 avril pour remettre leur dossier complet, avant sélection des finalistes, le 14 avril. Ensuite, du 3 au 5 mai, le jury d'un grand oral procédera à la désignation de l'équipe finaliste, qui sera récompensée le 6 mai.
Par cette dotation importante, BearingPoint entend marquer son engagement auprès des étudiants. De fait, les consultants de ce cabinet de conseil en management et technologie accompagnent durant un an les étudiants dans la préparation et la réalisation de leur projet. Une équipe de l'Essec s'est vu attribuer la bourse 2009 pour son projet de chirurgie mini-invasive pour tous. En 2008, une équipe d'étudiants de HEC a remporté le concours pour son projet humanitaire de construction d'un centre de renutrition au Burkina Faso. Et en 2007, c'était la bande dessinée éducative « Lucy et Valentin… créent leur entreprise ! » d'étudiants de l'EM Lyon qui remportait la mise.
A chaque fois, le cabinet s'attache à sélectionner des projets en fonction de leur solidité en termes de perspectives de résultats, de leur caractère inventif et du degré d'initiative et d'engagement des équipes étudiantes.
Les nouveaux arrivants dans l'entreprise comprennent vite qu'il est préférable, pour eux, de ne pas aborder certains sujets. Il s'agit souvent de certains sujets concernant certaines personnes. Et, disons-le, c'est, presque toujours, des dirigeants dont il est question : de leurs comportements, de certains avantages ou parfois des relations qu'ils entretiennent entre eux. L'argument qui clôt l'échange est, en général, « c'est comme ça ». Donc accepte-le comme tel et n'en parle plus ou… La menace est implicite.
C'est évidemment choquant sur certains avantages ou pratiques. Ca l'est encore plus sur les comportements. Rappelons qu'une des caractéristiques des comportements est de produire des effets sur les autres. Ainsi, tel dirigeant ayant tendance à critiquer ses collaborateurs en réunion génère une telle anxiété que tout ce qui lui sera présenté sera refait de nombreuses fois, au prix d'une sur-qualité coûteuse en temps et en énergie.
Plusieurs études mettent en évidence l’impact positif des femmes sur la croissance et la rentabilité d’une entreprise. Mais il n’en est pas nécessairement de même de son cours de bourse.
Les marchés seraient-ils sexistes ? Au moins périodiquement, si l’on en croit une étude publiée par la revue «Travail, Genre et Société» du CNRS et menée par Michel Ferrary, professeur de gestion des ressources humaines à Nice. Après avoir scruté les statistiques de 42 entreprises du CAC 40 sur la période de croissance économique et boursière 2002-2006, le chercheur aboutit à un résultat paradoxal : le seuil de 35% de femmes franchi (tant au niveau global qu’au niveau de l’encadrement), la productivité, la croissance, l’emploi et la rentabilité de l’entreprise sont en moyenne toujours meilleurs que ceux des entreprises moins féminisées.
Une étude britannique met en évidence la relation entre santé au travail et franchise vis-à-vis de son employeur.
Dire à son patron ses quatre vérités ne vous conduit pas nécessairement aux prud'hommes. Une étude anglaise, présentée récemment lors d'une conférence de la British Psychological Society souligne au contraire qu'une telle attitude aurait des vertus dans la sphère professionnelle.
Selon cette enquête menée par Emma Donaldson-Feilder auprès de 50 managers et 500 employés, exprimer à son employeur ce qu'on pense de lui aurait un double avantage : diminuer le stress des employés et accroître la performance du patron. Car, relève la scientifique, «si l'on ne tend pas un miroir à une personne, comment pourrait-elle connaître ses points de faiblesse, et dès lors, pourquoi changerait-elle ?» Induire un changement positif de comportement chez le dirigeant, donner le sentiment aux salariés qu'ils sont écoutés, telles sont les vertus du dialogue prôné par la British Psychological Society.
Janvier n'est pas encore terminé, la période est aux bilans et aux résolutions. Arrêtons-nous quelques minutes sur notre façon de travailler. Avant même de s'intéresser au contenu (ce à quoi nous consacrons notre temps professionnel), posons-nous la question du volume. Le premier constat est qu'il n'existe plus dans l'année de « période creuse ». La surcharge, qui alternait avec des périodes de moindre charge, est maintenant permanente. Personne ne termine plus sa journée avec le sentiment d'avoir « fini son travail ». Au mieux peut-on se dire que l'on a fait le maximum que l'on pouvait faire, mais on sait que ce qui reste à faire est encore considérable. Chacun s'arrange en travaillant de chez soi, le soir, en week-end ou en vacances pour tenter de venir à bout de l'éternelle « to do liste ». En vain : elle se réalimente toujours plus vite, et son obésité semble chronique, voire définitive.
"Si toute culture comporte ses propres contradictions, celles qui traversent la société française sont plus apparentes qu’ailleurs car il existe un gouffre plus vaste qu’ailleurs entre les idéaux nationaux et la réalité des désirs de chacun. A ce titre, le diagnostic établi par Philippe d’Iribarne dans L’étrangeté française est clair et net : « Prise entre ces deux références, dans une sorte de symbiose conflictuelle entre le désir de grandeur et l’idéal d’égalité, la France d’aujourd’hui vit dans une contradiction permanente. »
La crise permanente est donc l’élément naturel dans lequel évolue tout Français. Crise réelle ou potentielle, crise passée ou à venir, crise entre le peuple et les gouvernants, crise entre l’employé et le patron, crise entre vie privée et vie professionnelle, crise entre rôle social et aspirations individuelles, la société française contemporaine se caractérise avant tout par une fondamentale crise de représentation, de confiance et d’identité."
Les administrateurs du CAC 40 s'habillent rarement en tailleur. Neuf fois sur dix, ils leur préfèrent le costume cravate, comme le prouve la cinquième édition du baromètre de Capitalcom. Chaque année, le cabinet de communication épluche les documents de référence et résolutions votées des quarante champions cotés français, à la recherche de femmes dans leurs conseils d'administration et comités exécutifs -lesdits comex. Un constat : la persistance, au fil des ans, d'un plafond de verre quasi insurmontable pour les membres du deuxième sexe. A peine quelques sièges ou postes de direction grappillés depuis 2006. Au point que les nominations de femmes deviennent de petits événements, à l'instar du retour, début janvier, de l'Espagnole Esther Koplowitz parmi le club très masculin des administrateurs de Veolia Environnement. Décidée le 17 décembre 2009, la prise de fonction a eu lieu le 1er janvier. Veolia l'a rendue publique douze jours plus tard.
Dans le choix d'un emploi, 93% des Français sondés par Kelly Services considèrent l'environnement international comme un critère important (50 % « très important » et 43 % « important ». Ils sont par ailleurs 79 % à estimer avoir les compétences nécessaires au travail dans un milieu « globalisé » et 70 % à estimer qu'une expérience « internationale » favoriserait leur évolution de leur carrière.
Le principal bémol résiderait dans l'attitude de leur employeur dans la mesure où 62 % des Français interrogés estiment ne pas bénéficier de son appui pour développer leur compétences à l'international. Ainsi, seule une minorité de salariés recevrait les formations adéquates (formation aux langues étrangères, etc.) qui leur permettraient de réussir dans un contexte globalisé.
Dominique Strauss-Kahn, directeur général du FMI, estime que la croissance mondiale pourrait être supérieure cette année aux prévisions initiales de 3,1%. Il appelle les pays asiatiques à mettre en place des mesures de contrôle des capitaux.
La croissance mondiale devrait excéder les prévisions initiales du FMI, dépassant les 3,1%, a estimé le directeur du FMI Dominique Strauss-Kahn. Ce dernier a exclu de nouveau la possibilité d'une rechute de l'économie mondiale, même si la reprise est faible et inégale. L'Asie, en excluant le Japon, devrait jouer un rôle de locomotive. Elle devrait connaître une croissance supérieure à 7%, a-t-il ajouté ce mercredi depuis Hong Kong, où se tient l'Asian Financial Forum.
En hausse d'un point en un an, il frôle désormais les 5 %, selon le baromètre d'Alma Consulting. «L'absentéisme désorganise le travail, coûte cher et démotive les équipes présentes», lance Grégoire Lalaque, directeur du site de Mions (Rhône) d'Auchandirect (livraison à domicile de commandes passées sur Internet).
S'il n'est pas nouveau, le phénomène de l'absentéisme prend de l'ampleur. Selon le second baromètre (1) d'Alma Consulting, son taux a fait un bond de plus d'un point en 2008, par rapport à 2007, passant ainsi à 4,85 %, soit près de 18 jours d'absence, en moyenne, par salarié. Dans les PME, il est supérieur à 5 %, mais elles sont désormais talonnées par les très grandes entreprises (plus de 1 000 salariés).
L'entreprise fonctionne comme un théâtre, rappelle le coach et psychanalyste Florence Lautrédou. Et pour que le résultat soit optimal, il importe que chacun comprenne bien son rôle et le tienne, mais en prenant garde de ne pas le mélanger avec sa personnalité propre. La persona ne doit pas se confondre avec l'ego. Etre aimé, reconnu, valorisé est dans la nature humaine. Mais au sein de l'entreprise, dans un cadre professionnel, il faut savoir se protéger et bien segmenter les deux aspects.
Les grandes manoeuvres continuent chez AXA. Début octobre, l'assureur avait annoncé son intention d'abandonner sa gouvernance duale à directoire et conseil de surveillance. Hier, il a dévoilé une nouvelle organisation pour le 1er janvier pour « faciliter la coordination entre les différentes entités du groupe et capitaliser encore davantage sur sa taille ». En plus de ses fonctions actuelles, François Pierson, le PDG d'AXA France, prendra ainsi la responsabilité au niveau international des activités d'assurance dommages. Christopher « Kip » Condron, le patron de la filiale américaine AXA Financial, aura les mêmes attributions en assurance-vie, épargne, retraite et santé. A eux de « définir la stratégie, fixer les objectifs et gérer la convergence opérationnelle de ces entités », explique l'assureur.
Seule la moitié des entreprises crées cinq ans auparavant demeurent actives. Quels sont les facteurs de réussite d'une entreprise qui marche ? Sommairement, d'après le portrait statistique dressé par l'Insee dans une étude publiée ce jeudi : un investissement de départ élevé, une activité se concentrant dans les domaines du transport et du service aux entreprises, un créateur diplômé et expérimenté, de préférence masculin et de plus de trente ans.
Ces résultats, certes schématiques, ressortent de l'enquête menée par l'Institut national de la statistique auprès des 215.000 entreprises créées en 2002. Seulement 52% d'entre elles existaient toujours en 2007. Parmi ces rescapées, l'Insee a isolé les facteurs influant sur leur pérennité.
Six dirigeants issus d'établissements réputés réagissent à l'objectif de 30 % de boursiers souhaité par le gouvernement.
C'est le grand débat de société francaise de ce début d'année. L'objectif de 30 % de boursiers dans les grandes écoles, un souhait du ministère de l'Enseignement supérieur, échauffe les esprits, engendre critiques et propositions alternatives pour établir une plus grande mixité sociale. Le sujet des quotas reste donc toujours aussi polémique en France, qu'il s'applique aux femmes dans les conseils d'administration ou aux élèves de ZEP dans les grandes écoles.
Lundi, lors de ses vœux au monde de l'enseignement, le chef de l'État, jugeant «parfaitement déplacées» les réticences des grandes écoles, a rappelé sa volonté d'imposer davantage de mixité dans ces filières d'élite.
» Claude Bébéar, fondateur et président d'honneur d'Axa, président de l'Institut Montaigne, diplômé de Polytechnique
» Pierre Mongin, PDG de la RATP, Diplômé de l'IEP de Paris, Énarque
» Henri Lachmann, président du conseil de surveillance de Schneider Electric, vice-président de l'Institut Montaigne, diplômé de HEC
» Mercedes Erra, coprésidente exécutive du groupe Euro RSCG Worldwide, diplômée de HEC
» Jacques Attali, économiste et président de l'association PlaNet Finance, diplômé X-Mines, IEP Paris, docteur d'État en sciences économiques, ENArque
» Stéphane Richard, directeur général délégué de France Télécom, Énarque et diplômé de HEC
C'est le grand débat de société francaise de ce début d'année. L'objectif de 30 % de boursiers dans les grandes écoles, un souhait du ministère de l'Enseignement supérieur, échauffe les esprits, engendre critiques et propositions alternatives pour établir une plus grande mixité sociale. Le sujet des quotas reste donc toujours aussi polémique en France, qu'il s'applique aux femmes dans les conseils d'administration ou aux élèves de ZEP dans les grandes écoles.
Lundi, lors de ses vœux au monde de l'enseignement, le chef de l'État, jugeant «parfaitement déplacées» les réticences des grandes écoles, a rappelé sa volonté d'imposer davantage de mixité dans ces filières d'élite.
» Claude Bébéar, fondateur et président d'honneur d'Axa, président de l'Institut Montaigne, diplômé de Polytechnique
» Pierre Mongin, PDG de la RATP, Diplômé de l'IEP de Paris, Énarque
» Henri Lachmann, président du conseil de surveillance de Schneider Electric, vice-président de l'Institut Montaigne, diplômé de HEC
» Mercedes Erra, coprésidente exécutive du groupe Euro RSCG Worldwide, diplômée de HEC
» Jacques Attali, économiste et président de l'association PlaNet Finance, diplômé X-Mines, IEP Paris, docteur d'État en sciences économiques, ENArque
» Stéphane Richard, directeur général délégué de France Télécom, Énarque et diplômé de HEC
Après une décennie de forte croissance, l'impact de la crise internationale n'a pas été uniforme pour les Pays de l'Europe Centrale et Orientale (PECO) , entrés depuis peu dans l'économie de marché. La Pologne, seul pays à échapper à la récession, fait figure d'exception grâce à la vigueur de son marché intérieur et son industrie diversifiée. Elle a également très bien tiré partie des fonds structurels de Bruxelles.
«Les prévisions très pessimistes annoncées tout au long de 2009 sur l'effondrement de la zone qui devait entraîner, tel un boulet, l'Europe occidentale ont été largement démenties », a expliqué Jean-Pierre Pagé, économiste du CERI, lors de la présentation du tableau de bord 2009 sur l'économie des pays de l'Est.
Le Figaro
«Les prévisions très pessimistes annoncées tout au long de 2009 sur l'effondrement de la zone qui devait entraîner, tel un boulet, l'Europe occidentale ont été largement démenties », a expliqué Jean-Pierre Pagé, économiste du CERI, lors de la présentation du tableau de bord 2009 sur l'économie des pays de l'Est.
Le Figaro
L’édition « Le Monde » d’aujourd’hui touche un sujet inquiétant, toujours dans l’actualité européenne : le protectionnisme.
« La polémique politique autour de la possible délocalisation de la prochaine génération de Renault Clio en Turquie ne cesse d'enfler. En pleine campagne pour les élections régionales, le gouvernement a décidé de faire de ce dossier un exemple en multipliant les déclarations tonitruantes.
… Nicolas Sarkozy a convoqué Carlos Ghosn à l'Elysée samedi pour qu'il se justifie sur ce dossier. Le PDG de Renault doit ainsi rentrer dans la précipitation des Etats-Unis où il se trouve.
Même si le constructeur affirme ne pas avoir encore décidé du futur lieu de production de la Clio IV, qui doit succéder au modèle actuel à partir de 2013, le gouvernement veut se donner une image inflexible : "Nous ne laisserons pas la Clio IV être produite en Turquie, la Renault sera produite en France pour être vendue en France", a dit le ministre de l'industrie, Christian Estrosi. »
La polémique vis-à-vis de l’élargissement de l’Union Européenne continue et il parait qu’il y a des nouveaux arguments.
Lemonde.fr
Le salon s'adresse aux étudiants des universités et des grandes écoles qui souhaitent faire un Master , un Mastère spécialisé ou un Master of Science. Il est donc spécialement conçu pour des étudiants de niveau Bac+3 à Bac+5, avec ou sans expérience professionnelle.
Les représentants de nombreux établissements vous accueillent et vous éclairent sur les troisièmes cycles accessibles à Paris comme en province ou à l'étranger.Que vous souhaitiez obtenir votre diplôme en école d'ingénieurs ou de commerce, à l'université ou dans un établissement spécialisé, vous saurez tout du LMD, des études et des spécialisations possibles ou encore des échanges avec des établissements à l'étranger.
Des entreprises de tous secteurs d'activité viennent proposer direct des contrats en CDI, CDD, alternance et des stages. Elles rencontrent sur leur stand pour de mini entretiens les candidats munis de leurs CV. Les visiteurs sont accueillis gratuitement par un cabinet de consulting pour bénéficier de conseils personnalisés sur leur CV, leur démarche, leur projet professionnel. Des conférences sur les méthodes de recherche d'emploi sont organisées par un journaliste de l'Etudiant avec la participation de professionnels du recrutement, DRH, consultants.
Programme:
Le vendredi 5 février :
10h30 : Recherche, professionnel ou spécialisé : bien choisir son master.
11h30 : décrocher son 1er emploi : CV, lettres de motivation, etc.
12h30 : Master professionnel : cap sur l'emploi.
13h30 : Jeunes diplômés en situation d'handicap : préparez votre intégration professionnelle. Conférence organisée par Hanploi.com
14h30 : Bien organiser sa recherche d'emploi (presse spécialisée, Internet, réseaut, etc).
15h30 : Master recherche : objectif doctorat
16h30 : Les atouts d'un 3e cycle (MR, MP, MS, MSc, ect) ?
Le samedi 6 février
10h30 : Master spécialisé : une expertise de métier.
12h00 : Spécialisations, formations complémentaires après un bac + 3/4 : comment choisir sa spécialité et son école ?
14h30 : Que faire après un bac + 4/5 : poursuivre ses études ou entrer dans la vie active ?
16h00 : DRT, DU, magistères, mastères.... : bien choisir son diplôme.
"L'opposition de la Conférence des grandes écoles à l'objectif gouvernemental de 30% de boursiers dans les "établissements d'excellence" a suscité la polémique. Les grandes écoles veulent-elles s'ouvrir à la diversité ou utilisent-elles la crainte d'une "baisse du niveau" comme prétexte pour perpétuer la reproduction sociale. Entretien avec le directeur de Science Po Paris, Richard Descoings, critique virulent des grandes écoles."
Nous sommes tous d’accord que le terme « leadership » est supra-utilisé, des milliers de livres et d’articles ont été écrites sur ce sujet. Dans le media, les présidents des pays et des entreprises sont des leaders, les équipes de football ont souvent un leader.
Vue que dans le management de projet il ne suffit pas de courir vite et frapper fort pour être bon, voici ce que MATEO vous propose en 2010 pour améliorer vos compétences de leader :
1. Réflexion stratégique : regardez les faits et les événements en perspective ; cherchez à voir « the big picture », prenez du recul et demandez vous régulièrement « pour quoi ? » (au lieu de « quoi ? », « comment ? »)
2. Ecoutez les autres (activement !) : apprenez de faire attention aux autres et faites preuve de votre appréciation pour leur contribution. Ecoutez activement, utilisez des questions ouvertes et surtout n’oubliez pas de maitriser le « language du corp »!
3. Attitude de leader : un leader doit inspirer ses collaborateurs, les motiver et les aider se développer. Soyez un bon « Coach » pour vos collaborateurs et non pas leur « Commandant ».
4. Management du temps : Observez combien de temps vous utilisez vraiment pour travailler et combien vous perdez. Concentrez vous sur les tachez importantes (forte valeur ajoutée) et surtout PRIORITISEZ !
5. Collaboration: Améliorez les relations avec vos collègues, essayez de comprendre leurs besoins et leurs buts. Le leader n’est pas en haut d’une pyramide, il est au centre du cercle de ses collaborateurs.
Dites-nous qu’est ce que cela vous inspire, quelles sont vos objectifs de développement pour 2010 ?
Vue que dans le management de projet il ne suffit pas de courir vite et frapper fort pour être bon, voici ce que MATEO vous propose en 2010 pour améliorer vos compétences de leader :
1. Réflexion stratégique : regardez les faits et les événements en perspective ; cherchez à voir « the big picture », prenez du recul et demandez vous régulièrement « pour quoi ? » (au lieu de « quoi ? », « comment ? »)
2. Ecoutez les autres (activement !) : apprenez de faire attention aux autres et faites preuve de votre appréciation pour leur contribution. Ecoutez activement, utilisez des questions ouvertes et surtout n’oubliez pas de maitriser le « language du corp »!
3. Attitude de leader : un leader doit inspirer ses collaborateurs, les motiver et les aider se développer. Soyez un bon « Coach » pour vos collaborateurs et non pas leur « Commandant ».
4. Management du temps : Observez combien de temps vous utilisez vraiment pour travailler et combien vous perdez. Concentrez vous sur les tachez importantes (forte valeur ajoutée) et surtout PRIORITISEZ !
5. Collaboration: Améliorez les relations avec vos collègues, essayez de comprendre leurs besoins et leurs buts. Le leader n’est pas en haut d’une pyramide, il est au centre du cercle de ses collaborateurs.
Dites-nous qu’est ce que cela vous inspire, quelles sont vos objectifs de développement pour 2010 ?
Au début de cette nouvelle année nous profitons de ce moment privilégié pour établir des objectifs et des bonnes résolutions !
Comme tout bon manager, MATEO a fait le point et se propose pour 2010 les directions suivantes :
- développer sa présence dans les nouvelles medias, notamment sur Twitter. MATEO est sociable, il croit dans le pouvoir du réseau. Vous êtes donc tous inviter de nous suivre sur Twitter : @Manage_EO (cliquez ici).
- avoir plus d’échanges avec tous les membres de l’Association, nous travaillons en ce moment pour organiser le rassemblement de cette année. Restés connectés, nous avons des nouvelles !
- aborder et analyser les technologies web 2.0 - les outils de collaboration et productivité pour le management de projet disponibles en ligne, gratuitement.
Nous vous souhaitons une excellente année 2010 ! En ce moment nous pensons particulièrement à nos collègues de la promo actuelle, ils sont en pleine bataille pour leurs thèses et pour leur diplôme !
Bonne chance !
Andrei Tavirlau
Comme tout bon manager, MATEO a fait le point et se propose pour 2010 les directions suivantes :
- développer sa présence dans les nouvelles medias, notamment sur Twitter. MATEO est sociable, il croit dans le pouvoir du réseau. Vous êtes donc tous inviter de nous suivre sur Twitter : @Manage_EO (cliquez ici).
- avoir plus d’échanges avec tous les membres de l’Association, nous travaillons en ce moment pour organiser le rassemblement de cette année. Restés connectés, nous avons des nouvelles !
- aborder et analyser les technologies web 2.0 - les outils de collaboration et productivité pour le management de projet disponibles en ligne, gratuitement.
Nous vous souhaitons une excellente année 2010 ! En ce moment nous pensons particulièrement à nos collègues de la promo actuelle, ils sont en pleine bataille pour leurs thèses et pour leur diplôme !
Bonne chance !
Andrei Tavirlau